Au revers d'un jour,
S'écrivent les émaux,
Doux beau,
Mélodieux cri d'une passe,
Libertine.
Une aveuglante occupation clandestine.
Sur l'autre rivage,
La grosse blanche
A pondu
Son œuf.
Oubliez vous,
Serions nous tenté
D'ajouter.
C'est parti ;
Promenons nous,
Dans les bois,
Tant que le loup
N'y est pas.
Tu es en retard !
Crains,
Mon châtiment,
Insolent.
Se soumettre,
Par croyance,
Et n'être
Que le faquin
D'un autre.
Autrement dit,
Rien.
La lune est pleine,
Mon ami,
Elle est le reflet
D'un joli rêve,
De mes nuits.
Fuit,
Le malin rôde,
A ta porte,
Dans tes sabots,
Hôte de la personne.
Il n'y a plus de tonalité,
Le bruit monotone
D'un océan
De banalités.
On choque l'écoute,
Pour mieux fuir,
Mon enfant.
Nul n'ensorcelle l'enchanteur
De diseuse
De bonnes aventures,
Car nulles ne lui appartiennent.
En ses temps d'incertitude,
On arrondit les angles,
Oh mon enfant.
Catastrophé,
La résurgence cauchemardesque,
Abyssale,
D'un monde perdu.
Esperaza
Le 16/10/2016