Je pense avoir terminer ce premier acte de poèsie.
Mon dernier poème, Penne, est à la limite du supportable. Niant l'intelligence et limitant l'art à une expression bestiale, les erreurs d'interprétation peuvent être graves.
En faite, on ne naît pas intelligent, on le devient par sa volonté grâce à son travail et par la force de l'adaptation. L'intelligence ce n'est pas être doué dans sa spécialité. C'est être ouvert sur le monde qui nous entoure, la sagesse est aux atomes d'hydrogène sa bombe.
L'art avec un a minuscule est bestial. Lorsque la dépense d'énergie est tous azimuts, elle l'est, car il n'y a pas le fil qui relie l'oeuvre. Par contre, quand la dépense d'énergie est à son minimum raisonnée, le chef d'oeuvre se profile au cours des années ; l'Art prend un A majuscule. A l'opposé, l'art raisonné, n'est pas de meilleure facture que l'art bestial, il est aussi bon marché que ce dernier et je dirai même bestialement mauvais. La demi-mesure nous étonnera toujours.
Voilà, je vous souhaite courage et vérité. ( La tempête se profile à l'horizon, mais la forteresse des peureux et peureuse se fendille)
Je reviendrai à la poésie pour d'autres poésies au moment venu, une pause s'impose.
Tchao à tous.
N'oubliais jamais mais alors jamais, tous les textes de l'Hectemores sont la propriété de son auteur et ils sont bien protégés.
Le 20/10/2010