Oh ! ciel du feu de dieu,
Accepte de nourrir ma terre.
Oh ! maître des Eaux,
Accepte les affres de la douleur.
Refuse cette guerre,
Malgré le bien fondé de ta grogne.
Ephémères comme nos vies d’Hommes,
Conspirons ensemble à ta tristesse.
Contemple l’idée de l’Esprit,
Car sur deux mains repose l’éphéméride.
Pleure, mon ami,
Quelques larmes dans nos champs secs.
Car demain nos puits seront vides.
Le 08/06/2006