Le bras de l'ancre à jas
Incruste le corail chaste.
La poigne des compagnons
A la rame
Comme au canon
Mène l'équipée
Au pied de Sounion.
Aux iris la plèbe,
Osiris le glaive.
Le labeur de nos bras ,
L'offrande à Poséidon.
La sueur des fronts ruisselle,
Sur le coeur du sanctuaire.
Les mains blessées,
Par les ronces acérées,
Sur la pierre en abandon.
Accablés,
Sous la chaleur lourde,
D'une pénitence aveugle ;
Le don d'une prière.
L'ombre de l'astre
S'efface dans l'eau,
L'au-delà d'une colonne.
Dans la sérénité,
D'une saine piété,
Nous rentrons au navire.
Sur la hauteur d'une rambarde,
Derrière le garde corps,
Les garde-fou,
Elle est le vent,
La robe,
Un étendard.
Ad libitum.
La peur vaporise
Les profondeurs de l'âme.
Sans larme,
Il pleure de loyauté.
Hectemores, le 07/07/2008
Incruste le corail chaste.
La poigne des compagnons
A la rame
Comme au canon
Mène l'équipée
Au pied de Sounion.
Aux iris la plèbe,
Osiris le glaive.
Le labeur de nos bras ,
L'offrande à Poséidon.
La sueur des fronts ruisselle,
Sur le coeur du sanctuaire.
Les mains blessées,
Par les ronces acérées,
Sur la pierre en abandon.
Accablés,
Sous la chaleur lourde,
D'une pénitence aveugle ;
Le don d'une prière.
L'ombre de l'astre
S'efface dans l'eau,
L'au-delà d'une colonne.
Dans la sérénité,
D'une saine piété,
Nous rentrons au navire.
Sur la hauteur d'une rambarde,
Derrière le garde corps,
Les garde-fou,
Elle est le vent,
La robe,
Un étendard.
Ad libitum.
La peur vaporise
Les profondeurs de l'âme.
Sans larme,
Il pleure de loyauté.
Hectemores, le 07/07/2008