Ma terre bêle.
Materne,
Ma terne oekoumène.
Obèle
Obèle
Le renfermé pue.
Le plomb triomphe.
Mon sang se glace.
L’atmosphère brûle.
Mes yeux d’oxygènes se ferment.
Une chaise droite,
Pain rassis et beurre rance près d’une gamelle vide.
Un Verre d’eau putride déforme le reflet ;
Des cornes d’abondance.
Un carreau sanguinaire,
Nature morte d’une main blafarde.
Les dès, un ange, un jet.
Tu n’as pue fuir le danger.
Vampires et sang sues d’âmes ont pillé,
Diable leur jugement dernier.
Ne pleure pas Jeanne,
C’est ainsi.
07.05.2007