Au large,
Une marche,
A la marge,
Du corps pages.
Rébus trébuchant,
A la lisière des chants,
Du champs,
Du coq.
Cocorico!
A l'eau,
Far away,
Phare,
Et fardeau,
Le l'H
L'arche
Les braves,
Et les lâches.
Douce amitié,
D'ordinaire,
D'ordre lunaire.
A Corde de harpe
Manche de Hache,
D'Ames et de corps,
Dames en chair et en os.
Dans un nuage,
Je nageais à travers les âges,
Tout le temps,
D'antan,
La paix d'ange,
Et des rois,
Mages.
Un caillou au coeur,
Diamant.
Luire,
A l'ombre d'une lumière profane.
Par les actes et les fées,
L'ordre et baronnie,
Cortège,
Et cérémonie,
Lève toi,
Enfant de plèbe
Et de glaive.
Lève toi,
Enfant de plèbe
Et de glaive.
Par les tracts et les faits,
Discorde et félonie,
Horde,
Et calomnie.
Lève toi,
Enfant de faim
Et de peine.
Lève toi,
Enfant de faim
Et de peine.
Demain,
D'autres voies,
D'autres chemins.
Le 07/04/2012 heure du pacifique.
Interview :
Avec le centième message réalisé, l'auteur souhaite réaliser une petite interview à ses lecteurs, à lui-même, à son oeuvre.
Le pseudo-lecteur : comment allez-vous?
L'auteur : bien, dans ma vie de funambule.
Le pseudo-lecteur : trois chiffres, en êtes vous pour autant lu davantage?
L'auteur : non, en ce moment je dépasse difficilement les 10 lecteurs par mois. Certes, ils sont du monde entier et me font voyager, comprennent-ils quelque chose? Sur une autre plate-forme, laissée à l'abandon, le compteur est à plus de 12000 visiteurs (unique? j'en sais rien). Bref, j'ai connu des périodes plus généreuses.
Le pseudo-lecteur : et pourquoi donc ?
L'auteur : c'est à moi de vous poser la question... Peut-être de la lassitude ? La forme, un message en construction, s'est peut-être ennuyant d'attendre la fin du mois.
Le pseudo-lecteur : on n'a pas forcément envie d'assister aux coulisses de la création...
L'auteur : très juste. Toutefois il m'apparaît difficile de changer la méthode.
Le pseudo-lecteur : et puis, vos derniers messages sont un peu...bof.
L'auteur : ok, c'est vrai. Le récit s'est perdu à la fin de l'acte VI. Dans le nouvel acte, je le cherche sans y parvenir. J'ai testé de nombreuses scènes et situations durant ces 6 ou 7 dernières années. Je n'aime pas reproduire les mêmes scènes. Dans un sens, l'Hectemores est un travail d'exploration. En solitaire, j'avance en griffonnant des pages, quelques traces de mon passage.
Le pseudo-lecteur : 6 ou 7 ans? de quand date votre premier message sur l'Hectemores?
L'auteur : je viens tout récemment de remonter le temps jusqu'au 01 février 2005! Donc... 7 ans d'activité!
Le pseudo-lecteur : certes, vous avez de l'expérience dans votre entreprise, que pensez vous de votre expérience d'écriture publique?
L'auteur : ayant une vie personnelle assez instable, précarité, temps partiel, les aléas du quotidien, la régularité de l'oeuvre m'a aidé comme le métronome pour le musicien(ne). L'écriture, quant à elle, je l'ai toujours considéré comme un amusement. Pourtant, j'ai conscience que le "fléau" de la culture, de l'économie et de tout plein de choses, c'est le vol de l'idée, le pillage des talents, la mauvaise copie par des gens de peu d'intelligence, en situation de domination et de prédation grâce à leur nom, leur argent ou pour diverses raisons qui n'ont rien à voir avec le talent.
Le pseudo-lecteur : alors vous estimez avoir du talent!?
L'auteur : j'aime bien l'antiquité, certains me plaisent beaucoup, d'autres moins. L'écriture publique s'est prendre des risques, le risque de l'interprétation. Or c'est là, tout le plaisir du lecteur.
Le pseudo-lecteur : vous êtes, quand même, un peu démago, n'est ce pas!
L'auteur : non, en ce moment je dépasse difficilement les 10 lecteurs par mois. Certes, ils sont du monde entier et me font voyager, comprennent-ils quelque chose? Sur une autre plate-forme, laissée à l'abandon, le compteur est à plus de 12000 visiteurs (unique? j'en sais rien). Bref, j'ai connu des périodes plus généreuses.
Le pseudo-lecteur : et pourquoi donc ?
L'auteur : c'est à moi de vous poser la question... Peut-être de la lassitude ? La forme, un message en construction, s'est peut-être ennuyant d'attendre la fin du mois.
Le pseudo-lecteur : on n'a pas forcément envie d'assister aux coulisses de la création...
L'auteur : très juste. Toutefois il m'apparaît difficile de changer la méthode.
Le pseudo-lecteur : et puis, vos derniers messages sont un peu...bof.
L'auteur : ok, c'est vrai. Le récit s'est perdu à la fin de l'acte VI. Dans le nouvel acte, je le cherche sans y parvenir. J'ai testé de nombreuses scènes et situations durant ces 6 ou 7 dernières années. Je n'aime pas reproduire les mêmes scènes. Dans un sens, l'Hectemores est un travail d'exploration. En solitaire, j'avance en griffonnant des pages, quelques traces de mon passage.
Le pseudo-lecteur : 6 ou 7 ans? de quand date votre premier message sur l'Hectemores?
L'auteur : je viens tout récemment de remonter le temps jusqu'au 01 février 2005! Donc... 7 ans d'activité!
Le pseudo-lecteur : certes, vous avez de l'expérience dans votre entreprise, que pensez vous de votre expérience d'écriture publique?
L'auteur : ayant une vie personnelle assez instable, précarité, temps partiel, les aléas du quotidien, la régularité de l'oeuvre m'a aidé comme le métronome pour le musicien(ne). L'écriture, quant à elle, je l'ai toujours considéré comme un amusement. Pourtant, j'ai conscience que le "fléau" de la culture, de l'économie et de tout plein de choses, c'est le vol de l'idée, le pillage des talents, la mauvaise copie par des gens de peu d'intelligence, en situation de domination et de prédation grâce à leur nom, leur argent ou pour diverses raisons qui n'ont rien à voir avec le talent.
Le pseudo-lecteur : alors vous estimez avoir du talent!?
L'auteur : j'aime bien l'antiquité, certains me plaisent beaucoup, d'autres moins. L'écriture publique s'est prendre des risques, le risque de l'interprétation. Or c'est là, tout le plaisir du lecteur.
Le pseudo-lecteur : vous êtes, quand même, un peu démago, n'est ce pas!
L'auteur : si peu... [ Et ils se mirent à rire ensemble]
Soudain, la voix familière d'un ami proche s'invite bruyamment dans la courtoise discussion...
Oscar : MMMMMOooooooooooores! espèce d'enfoiré![ les lèvres mâchèrent les mots dans le bégaiement d'une forte vieillesse]
A ce salopard de Mores! [ Haletant, l'homme est exténué ]
Mores : Mon ami! Quel plaisir !
Oscar : Je vais t'en foutre une, attends que je t’attrape! [ Dit-il, dans un volumineux suintement de sueur, sa jambe de bois sonnant le pas d'un nerveux boitement.]
Mores : [sautillant de quelques pas en arrière, tournoie autour du vieil homme] Qu'ai je fait ? Mon ami, quels sont mes torts, que me reprochez vous?
Oscar : AAAAh Mooores je vais t'en foutre une!
Mores : Qu'ai je fait !?
Oscar : tu nous a laissé, moi, ta famille et tes amis sous les voiles de la Libertadi.
Mores : Je vous ai perdu, laisse moi te serrer dans mes bras, ma joie est grande de te revoir!
Francis : De nous revoir! [ Ils étaient là, Oscar, Asra, le fils retrouvé, Sami le lad et son beau cheval Aurone, Francois, Henri la fougue, Mousse, Pufin, Rayan, Hestia, Prudence, Haissam, Francis le héros, Rémi, Claudius, La Rue, Athéna, Anabelle, le Héraut, ]
Le 07/05/2012